2019 - Appartement de Saul | Saul & Constance - The One

Je vais donc être invité à vos petites soirées ? J'ai presque l'impression de réellement faire partie du lot. J'aimerais pouvoir me donner un peu plus dans l'association, je fais de mon mieux pour accepter le plus de job. Je me sens un peu plus à l'aise finalement, même si c'est à mon tour d'avoir le cœur brisé. Je suppose que je finirais par me faire à l'idée qu'on n'a pas le droit de s'aimer et que quelqu'un d'autre prendra la place. Je l'espère aussi un peu, pour ne pas trop en souffrir. Je te le dis une nouvelle fois. Je suis là. Je ne sais pas combien de temps je vais devoir le répéter, mais je ne compte pas t'abandonner derrière tes nuages. Laisse-moi être ton éclaircie, laisse-moi peindre sur ton corps les couleurs que tu étouffes. Je me replace et la joue contre le matelas, je te demande de me mordre, de me marquer, pour que demain tu sois encore là.

Demain viendra, mais sans Constance. Même s'il est vidé d'énergie. Il sait qu'il ne va pas devoir tarder à rentrer. Cette nuit, il semblerait que le mari volage dormira à poings fermés. C'est comme quand il va courir pour s'épuiser l'esprit, au moins assez pour réussir à fermer l'oeil. Sauf que là, nulles foulées et regard vers la mer. Non, juste une purée de pois épaisse dans le cardiogramme quand il repose son regard sur Saul. Qu'il embrasse encore un bout de cou, du bout des lèvres. Dans ses bras, il se sent bien. Avec paresse il lève une pogne pour caresser avec douceur le poitrail à ses côtés. Des petits ronds, du bout des doigts. Une paume qui s'applatit dans une lente progression. Puis de nouveau des formes qui laissent peu d'empreintes. Des geste irréguliers, alors qu'il a sommeil, qu'il a vraiment envie de dormir. Une inspiration, pour se sortir de là mentalement. Pour revenir un peu à la réalité. "J'ai un peu faim..." Constatation simple. Il est vrai que ça hurle famine, pour lui qui saute souvent des repas parce qu'il n'a pas le coeur d'avaler quoi que ce soit. "Je sais pas si ce que j'avais ramené te plaira." Il imagine que oui ? Qui n'aime pas Taco Bell ? Il ignore, a pris au premier qu'il a pu croiser surtout. Malgré tout, il n'a pas envie de bouger. Aimerait vraiment se fondre dans les draps de Saul, pour pouvoir l'avoir entre ses bras toutes les nuits. Mais ce voeu devra rester muet et puis, il n'a pas de sens, d'être prononcé si tôt. Alors il se tait, embrasse juste un recoin du menton de l'hispanique.

Nous revoilà dans nos câlins et je ne peux que venir te serrer contre moi. Je te ramène contre mon torse, contre moi pour réclamer un peu plus d'attention. J'ai envie de te demander de rester là, juste comme ça, mais on sait qu'on n'en a pas le droit. Alors je profite du moment, de l'instant comme si demain tu ne voulais plus me voir. Des baisers qui sont déposés sur ta petite tête en je laisse mon nez se perdre dans tes cheveux. Ton odeur n'est plus la même qu'à l'arrivée. C'est un mélange de nous deux, de nos folies qui n'auraient pas de limite si nos corps pouvaient enchaîner. Tu me transformes en machine à amour, sans y avoir réellement le droit. On se contentera d'illusion que s'en est, pas vrai ? Ça ira pour nous deux hein ? On ne se brûlera pas les ailes à vouloir l'autre ? Je me mets à sourire avant de venir me redresser comme pour me lever, mais c'est seulement pour mieux te voir. « Je meurs de faim aussi... il doit rester de la tarte aux fraises dans le frigo en plus de ça. » Ce que j'aime le plus au monde. Au moins, ça on ne peut pas me le retirer. Je glisse mes doigts dans tes cheveux un instant avant de rire. « J'aime tout. Je prépare la nourriture... Et on mange ça au lit ? » De toute façon, il va bien falloir changer les draps. Un baiser déposé sur le bout de ton nez et je me décolle de toi, sans gêne de me lever nu. De toute façon tu m'as terriblement bien admiré non ? J'enfile quand même un caleçon avant de rejoindre a cuisine. Napoléon m'accueille en me hurlant dessus et en prime il m'ignore pour aller frotter sa tête contre la tienne. Je vous regarde un instant en restant à la porte. « Il t'aime déjà. » Je souffle un rire et je me dépêche d'aller faire réchauffer les tacos. Tu as de la chance que j'adore ça, il faut juste voir ce qu'ils ont mis dedans après. J'attrape un plateau pour ensuite y déposer les tacos chauds et je reviens à toi sans attendre plus. « Monsieur est servi. » Je dépose ça sur un coin de lit et je viens attraper le fauve. «  Napoléon... On n'embête pas les invités... » Je le dépose à la sortie de la chambre pour qu'il parte de lui même, lui donner l'impression que c'était son idée pour qu'il ne rentre pas juste pour me contredire.

Finalement, il ne sera pas le ventre sur pattes des deux, puisque Saul a faim aussi. Même si ça veut dire se quitter, même quelques minutes, avant le moment fatidique. "Ça me va..." Un sourire, avant de le regarder se lever alors qu'il vient à s'étirer de son côté, détendant au mieux ses muscles endoloris. Le regard qui se perd sur les formes de Saul, sans trop de gêne après cette soirée. Cela aurait été idiot de détourner les yeux maintenant. Même quand il se rhabille et que le chat vient à s'inviter. Un bout de rire et ses doigts qui viennent papouiller l'animal. "Il est trop mignon." Un baiser déposé sur le crâne roux. Néanmoins... "Je peux t'emprunter tes toilettes, d'ailleurs ?" Il n'a aucune idée d'où ils sont, mais les trouvera bien assez vite. Il attrape son propre boxer au passage, ne le remettra qu'après son passage là-bas. Un passage par un robinet plus tard et un baiser déposé par-dessus la nuque de Saul, il peut revenir au lit, papouiller de nouveau Napoléon. Le chat est apprivoisé, définitivement, quand il est à ronronner comme une machine et qu'il en fait rire Constance. Quand Saul revient, il a le droit à un sourire plus appuyé que les précédents. "Merci très cher." Le rouquin s'en retrouve un brin délaissé et puis, emporté. "M'oh, il ne m'embête pas, promis !" Au contraire, rien de mieux que des animaux pour faire en sorte que Constance se sente bien. Et le matou semble l'avoir compris parce qu'il court de nouveau dans le lit, avant même que Saul n'est eu le temps de quoi que ce soit. Alors Constance en ri, simplement, avant de tapoter le lit. "Reviens-vite avant qu'il te pique la place." L'odeur qui embaume l'air vient à lui donner encore plus faim, ça lui tord l'estomac même. "J'avais pris plusieurs sortes, regarde ce qui te plaît en premier !" Constance mange de tout, n'est pas du tout emmerdant sur la question. Décrivant ceux qu'il a pu prendre sans réaliser encore la simplicité de l'instant. "Bon appétit." C'est quand ils commencent à manger, qu'il s'en rend compte. Que ça lui fait un petit quelque chose. Alors il mâche en silence d'abord, avant d'avaler tout rond et de regarder Saul. Napoléon est en train de ronronner contre les jambes des deux hommes, sans doute à guetter quand un morceau de viande tombera pour se précipiter dessus. Constance prend un temps, pour regarder la chambre, comprendre un peu plus Saul au travers de celle-ci. Puis d'en revenir à lui, de le regarder et de sourire, doucement. Sans raison, de prime abord. "J'aime bien ce moment." Qu'il dit alors, avec une tendresse certaine, avant de reprendre une bouchée de son tacos.

Le matou prend ses aises et c'est seulement parce qu'il y a Constance, il sait qu'il gagne toujours quand il y a un invité. Je m'écrase donc avec toi en poussant le matou avec mon nez. Il ronronne le bougre, venant frotter sa face contre la mienne pour essayé de m'amadouer. «  Tu as un truc avec les chats. Je devais en être un dans une autre vie. » Je souffle un rire doucement avant de venir regarder les tacos. Je penche légèrement la tête, avant de la tourner de nouveau vers toi. «  Je ne sais pas je mange de tout aussi. Au pire, on fait une moitié de chaque. Comme ça pas de jaloux. » Je souris doucement en me rapprochant de ton visage pour t'embrasser lentement. Je me charge de la découpe du premier venant à te laisser le moins chiant des deux. Si j'en mets partout ce n'est pas bien grave vu ce qu'on vu mes draps aujourd'hui. J'allais croquer dedans avant de te regarder en souriant. « Bon appétit. » Je me redresse pour manger tranquillement en poussant le monstre du bout d'un pied doucement. Je l'admire qui s'accroche à ma jambe et j'en ris un peu. Heureusement qu'il ne sort pas les griffes quand il attaque, du moins, pas quand il attaque les humains. Là je sais juste qu'il est content que je l'emmerde et qu'il ne va pas quitter la nourriture du regard.Mon regard qui se pose sur toi de nouveau quand tu viens à dire que tu aimes ce moment et, j'avoue que j'aime énormément cet instant, cette complicité, le côté humain derrière nos folies. Ce n'est pas que du sexe et j'en ai bien conscience. « J'aime aussi terriblement ça, te voir avec de la sauce blanche sur un coin de lèvre. » Je souffle un rire, venant à te relever le menton avec un air taquin, mon visage qui s'avance et finalement j'en reviens à ma nourriture l'air de rien. « Si tu veux un dessert j'ai ce qu'il te faut et si tu veux boire aussi... j'ai ramené de l'eau, mais si tu veux du vin j'ai aussi. » Du vin français, qui me coûte cher, mais qui vaut clairement le coup. Je continue de manger entamant même un deuxième tacos, faire l'amour deux fois n'a pu que me donner doublement faim. « Tu es tellement beau garçon. Je devrais arrêter de le dire ? Je devrais sûrement. » Je viens doucement frotter le bout de mon nez contre ta joue avec un petit regard tendre, je suis absorbé par toi. Tu prends trop de place dans mon esprit, tu me demandes tellement d'énergie pourtant. J'espère ne jamais tomber amoureux de toi, mais comment le pourrais-je ? Tu es la partie qu'il me manque. Je ne dois pas y songer. Me dire que tu ne me rends pas heureux.

Un sourire, face aux faits, à l'allusion. "J'ai toujours eu un feeling avec eux, oui." Et de rire, face à l'idée suivante. "Tu es toujours un très beau matou." Il y a cette légereté, dans la voix, dans le ton. Bêtement content, Constance. Dans cette simple phrase qui fait encore résonner dans sa gorge un rire, avant qu'ils ne passent à des choses plus triviales. De se souhaiter bon appétit, d'apprécier l'instant T. Puis d'un mouvement de langue sur le côté pour récupérer ladite sauce, en rougissant légèrement de ne pas savoir, visiblement, manger correctement. "Ah, mince... !" Saul se rapproche et il se sent encore subjugué, à l'idée d'un nouveau baiser. Et d'en rire quand en fait, non. "L'eau me suffira, merci." Il n'est pas très vin, Constance. Ça lui monte trop vite au nez à lui, l'américain habitué aux bières qui doivent se conjuguer pour lui faire grand effet. Alors ça lui ira amplement, parce qu'il va falloir rentrer à un moment, malgré tout. L'estomac déjà bien plus rempli, il sent quelques forces lui revenir. Comme galvanisée, d'autant plus avec le compliment qui tombe, qui le rougir encore légèrement, baisser les yeux vers le chat en souriant légèrement. Il a envie d'y croire, de penser que Saul le pense sincèrement. Bien que lui ne se trouvera jamais beau, jamais. Les doigts sont essuyés dans une des serviettes en papier à disposition, pour venir papouiller un coin de barbe à l'hispanique. "Si j'ai le droit de te renvoyer le compliment à chaque fois, alors tu peux continuer..." Même s'il a du mal à y croire. "J'aime bien te l'entendre dire, même si ça me fait étrange." Un bout de sourire, parce qu'il n'a jamais su croire Lizzie quand elle osait le lui dire, d'un sourire timide et de ses propres joues rosies, à leur début. "Je ne sais pas ce que tu me trouves, mais... Je suis content de te plaire." Réellement. Quoique, il ne devrait pas. Devrait être désenchanté de l'idée, même. Mais à la place, il prend une petite inspiration avant de piocher à nouveau une autre partie de tacos, pour marmonner un mot en même temps. "Ton regard me fascine." D'autant plus quand il se pose sur lui. Qu'il lui donne l'impression d'être aussi misérable que tout puissant. Et il craint ce qu'il pourrait encore lui faire ressentir, par la suite. Parce qu'après tout, ça ne fait que peu de temps, véritablement, qu'il a saisit la force de celui-ci au travers de leurs échanges. Mais avec Saul, manger en boxer juste, sans porter le moindre autre bout de tissu ne le dérange pas plus que ça. Et ça devrait, pourtant.

Je vais donc te laisser boire de l'eau et je ferais de même. On gardera l'alcool pour un autre soir. Même si tu ne pourras pas trop boire parce qu'il faudra rentrer après. C'est une bonne excuse de boire non ? Pas sûr que Lizzie apprécie de te savoir saoule, malheureusement, il n'y a aucune excuse qui pourrait justifier que tu découches. Même si personne ne peut voir l'autre facette de toi. Tu joues si bien les hétéros mariés. C'est ma faute si tu ne sais plus te mentir à toi-même ? Ou c'était déjà le cas depuis bien trop longtemps ? J'ai peur de la réponse, mais en même temps j'aimerais savoir si tu vas bien. Ce qui te passe par la tête, jour et nuit. Les idées noirs, je veux les chasser de ton esprit, même si pour ça je dois oublier mes longues nuits. « Je ne comprends pas que tu n'arrives pas à me croire. Tu... es ... magnifique. Je pourrais te regarder indéfiniment et continuer de le penser. » Mon corps montre bien que tu me plais, je ne parle pas que de la chaleur constante que tu me procures, mais aussi du moindre frisson que je peux avoir dès que tu me touches. Quoi qu'en un seul regard tu peux aussi me faire cet effet. Ton charme est fou, un jour je serais capable de te le faire comprendre. Je me stoppe dans mon repas pour poser mon regard qui te fascine tant sur toi, pour venir un peu plus vers toi, déposer des baisers sur le haut de ton bras, remonter sur une épaule et finalement me perdre dans ton cou, le dernier arrêt se fera proche de ton oreille. Baiser déposé, les dents qui viennent doucement à tirer sur celle-ci avant d'y murmurer sensuellement. « Ton sourire me fascine... » Il est unique. Je le trouve magnifique, j'aimerais te faire rire, te faire sourire encore plus que ce que je suis capable actuellement. Je viens un peu plus contre toi avant de m'écraser dans le lit en riant , mon regard se posant sur toi de nouveau. « J'ai envie de te dévorer... » Une main qui passe sur une de tes cuisses pour doucement la caresser. J'ai l'impression d'avoir vingt ans et que pour la première fois, mon cœur décide de battre.

Chacun ses goûts, quelque part. Constance n'est pas dans ses critères de beauté, pour lui-même. Et en même temps, il n'en a pas tellement. Considère juste les gens beaux de base, leur trouve du charme plus tard, ou non. Mais dans le reflet des miroirs, il ne voit que l'idiot qu'il est. Que l'enfoiré, que le traître, que le mari infidèle et même avant ça, pas aimant. Alors, non, il ne se trouve pas beau de son côté. Ne se trouve aucun charme, ne comprend pas qu'on puisse le trouver attirant. Mais il veut bien croire qu'il attire Saul. L'a déjà bien assez vu le désirer, en si peu de temps, pour en accepter l'idée. C'est juste qu'il ne saisit pas, lui, ce qui amener Saul à craquer pour lui. Alors il préfère confesser ce qu'il aime, chez l'autre. Et le regard lui arrive comme une évidence. Parce qu'il adore les yeux de Saul, qu'ils ont quelque chose qui l'amène à vouloir s'y brûler encore et encore. Et l'avouer à haute voix lui fait un peu étrange mais en même temps, pas tant que ça. Il ne peut que sourire légèrement, en sentant les baisers déposés sur sa peau. L'observer le faire, en oublier quelque peu le repas. En fait, c'est Saul tout entier qui l'emporte ailleurs. Une inspiration, un soupir, des lèvres qui s'unissent. Et de rougir, face à la propre confession de Saul. C'est que ses sourires sont rares en général, bien trop timides pour s'exprimer sincèrement. Le repas est délaissé, quand il lui embrasse son menton, avant que l'autre ne fuit et retombe contre le lit. Un souffle de rire, en l'observant par-dessus son épaule. "Encore... ?" Un sourire taquin qui vient à se dessiner sur ses lèvres. Bref regard pour déposer ce qu'il lui restait en main, l'essuyant dans une serviette à portée. Puis il vient à se mouvoir, dépasser Napoléon pour venir se poser sur les cuisses de Saul, revenir l'embrasser. Ils mangeront plus tard.

Je veux te dévorer, encore et encore. Tu n'imagines même pas à quel point. Tu es si beau, si doux et je ne sais pas si je pourrais résister longtemps avant de revenir te grignoter du bout des lèvres. Mon regard qui reste sur toi, il te suit, je ne veux pas louper un seul de tes mouvements. «  Oui... Encore et toujours. » Je souffle un léger rire, mes doigts glissant sur tes cuisses pour les caresser du bout des doigts. J'en connais un qui est jaloux d'autant d'attention parce qu'il vient littéralement se coucher contre ma tête. Je râle un peu avant de reposer un regard sur toi amusé. « Tu as bien mangé ? »Les caresses qui remontent jusqu'à ton flanc pour le caresser lentement, simplement du bout des doigts pour te chatouiller un peu. J'essaie de garder ça doux et complice, même si on semble le faire naturellement. Je ne voudrais pas te refaire pleurer. Finalement, je me relève avec une main pour essayé de venir chercher un baiser. Je suis déjà en manque ! Reviens m'embrasser, me serrer, me montrer que tu es là. Ma main glisse lentement jusqu'à ta joue et je t'offre un sourire tendre en essayant de te faire un câlin, même si la position est une torture pour mon dos. «  J'aime tellement, avoir un simple contact avec toi... même si c'est juste t'effleurer. Je me sens … apaisé. » A ses mots je retombe sur le lit doucement en laissant le bout de mes doigts descendre petit à petit sur ton corps. Pas le droit de marquer ta peau, alors oserais-je réclamer que tu me marques ? Juste pour quelques jours... juste une marque de plus. Un souvenir que je peux voir, ailleurs que dans un miroir. «  Tu me ferais un suçon sur le ventre ? J'ai envie de pouvoir le voir quand je veux. »  Ce n'est pas pour que tu martyrises un peu plus ma peau, ce n'est pas du tout quelques choses qui me plait.